La vidéo aborde la gestion des addictions pendant le Ramadan. Certaines personnes parviennent à gérer leurs addictions, qu’elles soient liées à des substances ou à des comportements, pendant ce mois sacré, tandis que d’autres rencontrent des difficultés ou échouent. Le niveau de dépendance joue un rôle crucial.
Certaines personnes réussissent à jeûner et à travailler sur leur sevrage, même si elles sont dépendantes de produits tels que le tabac, le café, l’alcool ou la pornographie. Cependant, il est recommandé de commencer à diminuer progressivement la consommation avant le début du Ramadan. Certaines personnes parviennent à jeûner mais ont du mal à gérer leurs comportements addictifs, ce qui peut entraîner des sautes d’humeur et des difficultés émotionnelles. D’autres ne parviennent pas du tout à jeûner en raison de la forte dépendance.
D’autres encore décident de ne pas jeûner d’elles-mêmes en raison de la difficulté liée à leur dépendance, tandis que d’autres essaient de jeûner mais n’y parviennent pas. La foi ne garantit pas nécessairement la capacité à gérer les addictions, car la dépendance peut varier en termes de niveau et de vulnérabilité individuelle. La volonté est importante, mais un accompagnement et un programme d’aide sont également nécessaires pour diminuer progressivement la consommation et éventuellement arrêter à moyen ou long terme. Les rechutes sont fréquentes, et il est crucial de ne pas lier la foi à la réussite ou à l’échec dans la lutte contre les addictions. Le travail sur les addictions nécessite du temps, de la patience et un accompagnement adapté. En fin de compte, il est important de profiter du Ramadan pour essayer de réduire les addictions, mais sans mettre la foi et la lutte contre les addictions en opposition directe.
